Géranium citronnelle : plante, entretien et astuces anti-moustiques

Jardinage

Ce géranium qui sent le citron est sans doute la plante la plus cool (et utile) que vous puissiez cultiver. D’ailleurs, on vous a préparé le guide ultra-complet (et facile) pour l’adopter.

SOMMAIRE

Le Géranium Citronnelle serait-il la plante parfaite ? Soyons honnêtes, on n’en est pas loin. C’est bien simple : entre son parfum enivrant d’agrumes, ses propriétés anti-moustiques, son allure de folie et sa rusticité à toute épreuve, ce drôle de pélargonium est assurément l’un de nos énormes coups de cœur du moment. Mais attention : comme tout végétal, il a ses exigences, ses préférences et ses caprices. Et gare à celui qui les ignorera. Alors, préparez-vous à démystifier la culture et l’entretien du géranium citronnelle, dans un guide ultra-détaillé qui vous dit tout ce qu’il faut (et ne faut surtout pas) faire pour en profiter à 100%. Avec une mission : vous permettre d’obtenir des résultats bluffants — même si vous débutez, manquez de temps, et avez peur de le tuer. (Spoiler : c'est ce qu'on pensait aussi.)

Géranium Citronnelle : Ce Parfum d'Agrumes qui Va Changer Votre Potager (et Vos Soirées) 🍋

Oubliez les senteurs fades des rayons de supermarché : le géranium citronnelle (Pelargonium citronellum) débarque dans votre bazar végétal avec une odeur qui vous décape les narines à chaque coup de vent. Feuilles duveteuses, vert bien franc, on croirait un cousin mal coiffé d’un persil géant… Sauf qu’ici, le parfum s’impose dès qu’on chatouille la plante : ça sent la citronnelle pure, avec des pointes de verveine et de mélisse. Autant vous dire que si vous cherchez la discrétion, passez votre chemin ! Originaire d’Afrique australe, cette bestiole végétale préfère les jardins foutraques où elle peut imposer son style (et son arôme).

Feuillage de Pelargonium citronellum avec une odeur citronnée dans un jardin
Son parfum puissant ne se contente pas d'enjoliver vos soirées – il peut aussi écraser les senteurs plus délicates du jardin, y compris celles des plantes moins vigoureuses ou des nuisibles sournois.

Pourquoi le géranium citronnelle est-il le roi des aromatiques (et des anti-moustiques) ?

On entend partout que le géranium citronnelle fait fuir moustiques et autres empêcheurs de sieste en plein air. Spoiler : c’est pas du pipeau. Ses feuilles dégagent une essence qui met en déroute la plupart des insectes – les moustiques en tête de file. Autant vous dire qu’il vaut mieux ça qu’une lampe à pétrole à côté de votre transat (je parle d’expérience, j’ai fini avec une terrasse enfumée et zéro moustique... mais aussi zéro ami !).

« Si tu veux dîner tranquille sans finir en buffet pour moustiques affamés, plante-moi un géranium citronnelle sous le nez ! » — Gaspard Brochier

C’est donc LE compagnon des soirées estivales : efficace, rustique et bien moins pénible que tous les gadgets pseudo-scientifiques vendus trois fois trop cher.

Les différentes variétés : laquelle choisir pour votre bazar végétal ?

  • Pelargonium citronellum : Le classique indétrônable, feuillage grossier et port touffu, odeur intense de citronnelle quand on frôle ses feuilles.
  • Pelargonium scabrum : Un poil plus compact, arôme légèrement poivré sur fond citronné ; parfait pour ceux qui veulent jouer au botaniste pointilleux.
  • Pelargonium graveolens : Plus doux niveau parfum (certains disent même sucré), floraison rose pâle et port plus dressé – mais spoiler : il fait moins fuir les moustiques.
  • ‘Citrosa’ (« anti-moustique » commercial) : Une variété hybride souvent vendue pour son effet répulsif maximal — anecdote : j’en ai planté deux côte à côte : résultat ? Zéro piqûre… mais aussi une sacrée compétition olfactive dans tout le jardin.

Planter le Géranium Citronnelle : Les Bases pour Éviter les Racines Pourries 🪴

Le bon sol : ni trop sec, ni trop mouillé, le juste milieu, vous connaissez ?

Soyons honnêtes, si vous traitez le géranium citronnelle comme une pauvre plante de salle de bains, autant l’envoyer direct au compost ! Cette bestiole n’aime pas avoir les pieds dans la flotte. Son truc à lui, c’est un sol léger et parfaitement drainé. Pensez à un mélange terreau-sable digne d’un pâtissier pointilleux ; ajoutez une bonne dose de matière organique pour qu’il ne râle pas. En pot ? Obligation absolue : billes d’argile ou gravier au fond, sinon c’est racines pourries assurées (testé et re-testé chez moi… spoiler : ça ne pardonne jamais). En pleine terre ? Allégez la parcelle avec du sable grossier ou du compost mûr. Un géranium citronnelle qui stagne dans la gadoue devient vite aussi coopératif qu’une visseuse sans batterie.

Des racines détrempées = des racines moisies = géranium citronnelle au cimetière végétal. C’est la première cause de décès prématuré pour cette espèce.

L'exposition idéale : soleil et mi-ombre, quel est le programme ?

Ce gaillard aime la lumière, mais il n’est pas idiot : grillé à midi sous 40°C façon steak haché, il fait grise mine. Soleil franc le matin, ombre légère l’après-midi : voilà sa recette préférée. Balcon bien exposé à l’est ? Parfait ! Bordure de massif avec ombrage partiel après 14h ? Royal ! Dans le Sud, attention aux coups de chaud – j’ai vu des plants déprimer sec sur dalle béton surchauffée…

Géranium citronnelle luxuriant exposé au soleil dans un jardin bien drainé

Où le mettre ? En pleine terre, en pot, ou sur le balcon ? Les avantages et inconvénients.

Option Avantages Inconvénients
Pleine terre Sol profond = développement maximal ; entretien minime Ne supporte pas les gelées ; drainage parfois tricky
Pot/Jardinière Contrôle total du substrat et du drainage ; mobilité Arrosage + fréquent ; espace racinaire limité
Balcon/Véranda Adapté aux petits espaces ; facile à rentrer l’hiver Attention coups de chaud/reflets brûlants

Autant vous dire que si votre région frôle les -5°C en hiver – sauf si vous aimez ressusciter des branches mortes –, optez pour la culture en pot que vous rentrerez dès les premiers frimas.

Quand planter le géranium citronnelle ? Le calendrier du jardinier averti (ou pas).

C’est simple : attendez que toute menace de gel soit écartée. Le printemps, après les dernières gelées (généralement avril-mai selon les coins), c’est LE moment. Pourquoi ? Ce spécimen venu d’Afrique australe déteste se les geler ; une température fraîche suffit à lui coller la jaunisse du feuillage. Alors patience : mieux vaut planter tard et voir exploser une floraison robuste, que jouer au héros précoce et finir avec un géranium rachitique (croyez-en mes plantages précoces foireux).

L'Entretien du Géranium Citronnelle : Arrosage, Engrais et Taille, le Trio Gagnant (ou Pas) 💧🌱✂️

L'arrosage : cette danse subtile entre la soif et la noyade

Quiconque pense qu’un géranium citronnelle s’arrose comme un ficus d’appartement part déjà en vrille. Cette plante-là déteste se retrouver les pieds dans le bouillon : un excès d’eau, et c’est la racine qui pourrit, direction compost. Le vrai secret ? Adoptez la technique du « sec entre deux » : vous plongez le doigt dans la terre, si ça colle encore, vous attendez. C'est comme pour une pâte à crêpe : faut pas noyer la farine sinon tout s’effondre.

Laissez toujours sécher la surface du substrat avant de sortir l’arrosoir. L’été, on surveille si ça tire la langue sous le soleil ; l’hiver, on laisse quasiment tranquille (à moins d’avoir envie de tester combien de temps il met à crever). Bref : un oubli vaut mieux qu’un excès.

« L'eau, c'est bon pour la soif, pas pour noyer le poisson ! »

Fertilisation : faut-il vraiment lui donner de l'engrais ?

Soyons honnêtes, votre géranium citronnelle n’a rien d’un goinfre. Un peu d’engrais au printemps et un autre en plein été suffisent largement. On vise léger côté dose : une fois par mois avec un engrais plantes fleuries dilué à moitié ou, mieux encore, un engrais organique style compost mûr ou guano (mais alors léger sur la main). Faut pas abuser sinon ça fait des feuilles gigantesques mais plus aucun parfum digne de ce nom – et ça attire toutes les bestioles du quartier.

À retenir pour ne pas faire n'importe quoi (checklist) :

  • Quand ? Printemps et été uniquement ; jamais en automne/hiver.
  • Quel type ? Engrais liquide pour fleurs OU organique bien décomposé.
  • Quelle quantité ? Moitié dose recommandée ; jamais plus souvent qu’une fois par mois.
  • Pourquoi ? Stimuler légèrement sans rendre la plante stérile ou fade.

La taille : comment sculpter votre géranium sans faire de massacre

La taille est ce qui sépare ceux qui veulent du buisson odorant de ceux qui cultivent une perche déplumée. Au printemps, rabattez franchement les tiges trop longues ou molles – ciseaux affûtés obligatoires. Après chaque floraison, pincez les jeunes pousses pour encourager ramification et feuillage dense (et donc arôme puissant). Ne taillez jamais avec des outils sales ou rouillés (oui oui, même moi je me fais piéger… et après bonjour les maladies !).

Anecdote bonus : Un jour j’ai zappé le pincement au printemps… Résultat : mon géranium avait plus l’allure d’un spaghetti perdu que d’une touffe odorante – autant vous dire que mes voisins ne m’ont jamais cru expert cette année-là !

Le rempotage : quand faut-il changer de pot pour éviter l’étouffement ?

Observez bien sous le pot : si les racines sortent par les trous ou forment une boule compacte qui fait bloc dans le contenant, il est temps d’agir. Croissance ralentie ? Feuilles pâlottes malgré tout votre amour ? Pareil. N’allez surtout pas choisir un pot XXL – deux centimètres de plus suffisent largement. Sortez délicatement la motte (spoiler : ça ne marche jamais du premier coup), retirez un peu de vieille terre autour sans casser toutes les racines puis replantez dans du substrat frais et bien drainé. Arrosez légèrement… Et laissez-le reprendre ses esprits quelque jours à l’ombre avant remise au soleil plein pot.

Rempotage d'un géranium citronnelle avec racines visibles et substrat drainant

Si la plante est à l’étroit, c’est comme nous dans un trop petit appart', ça ne pousse pas bien – ni heureux ni productif ! Pour approfondir ces techniques et comparer avec l’entretien du cousin Pelargonium zonale, foncez lire notre article spécial différences-entretien.

Géranium Citronnelle : Les Petits Tracas Courants et Comment S'en Sortir (Sans Paniquer) 🐞

Ah, le géranium citronnelle… aussi coriace que susceptible ! Il résiste à beaucoup de choses, mais il y a toujours une bande de petits salopiauds pour venir semer la zizanie. Voilà comment les reconnaître et leur clouer le bec sans transformer votre jardin en laboratoire chimique !

Les pucerons et aleurodes : ces invités indésirables et comment les virer

À peine avez-vous détourné le regard que voilà les pucerons (verts ou noirs, jamais fatigués) et leurs cousins aleurodes (petites mouches blanches, si vous n’avez jamais vu ce bazar en mouvement…). Ces parasites sucent la sève, déforment les jeunes feuilles et laissent derrière eux du miellat collant. Autant vous dire que si vous laissez faire, c’est ambiance "velcro" sous chaque feuille.

Feuilles de géranium citronnelle infestées de pucerons et aleurodes

Liste des solutions naturelles pour se débarrasser des pucerons et aleurodes :
- Douche froide : Un bon jet d’eau ou d’eau savonneuse sur le feuillage (savon noir dilué, pas liquide vaisselle du coin – soyons honnêtes…)
- Purin d’ortie : Oui, ça pue comme une botte oubliée mais c’est redoutable ! À pulvériser sur les parties infestées.
- Coccinelles affamées : Libérez-en quelques-unes et admirez le festin. Anecdote ? J’ai vu un plant complètement nettoyé en trois jours par ces auxiliaires gloutons – pas besoin de chimie ni de miracles !
- En dernier recours : supprimer à la main les foyers trop garnis (gant obligatoire… ou courage exceptionnel).

L'oïdium et autres maladies fongiques : quand le feuillage fait grise mine

Vous voyez de la poudre blanche sur le dessus des feuilles ? Félicitations, l’oïdium a lancé sa fête clandestine (et spoiler : ça ne réussit JAMAIS à la plante). Cette maladie fongique adore l’humidité stagnante. Symptômes : feuilles blanchâtres, aspect poussiéreux, ralentissement de la croissance. Son apparition dénote un manque flagrant d’aération ou des arrosages trop zélés sur le feuillage (je ne vise personne… mais c’est souvent là que ça coince !).

Feuille de géranium citronnelle montrant des signes d’oïdium

Pour éviter ça :
- Espacez vos plants (arrêtez de faire des rangs serrés façon métro !)
- Ne mouillez jamais les feuilles lors de l’arrosage.
- Supprimez immédiatement toute partie atteinte.
- En traitement naturel : pulvérisation au bicarbonate de soude dilué ou décoction de prêle.

Feuilles jaunes : détective dans son propre jardin

Le jaunissement des feuilles ? Là encore attention à la précipitation. Ce n’est PAS systématiquement une maladie mortelle, mais souvent une erreur bien humaine :
- Excès d’eau (le classique du jardinier trop zélé)
- Manque d’eau après une semaine caniculaire
- Carence en nutriments (notamment azote – feuillage pâle)
- Drainage pourri (sol compact ou saturation chronique)
Soyez observateur ! Inspectez substrat, racines et fréquence d’arrosage avant tout remède miracle. Soyons honnêtes, j’ai failli balancer un pot entier une fois… avant de piger que je noyais simplement ce pauvre géranium sous prétexte « d’amour botanique ».
Pour aller plus loin dans l’art subtil du diagnostic foliaire (et voir pourquoi c’est presque pareil chez le citronnier), filez lire cet article ultra-précis sur les feuilles jaunes du citronnier – méthode différente mais gymnastique mentale identique !

Comment gérer le gel et l’hiver : repos obligatoire sous couette anti-froid !

Le géranium citronnelle n’est PAS rustique. Si vous comptez sur lui dehors à -3°C... autant acheter sa pierre tombale tout de suite. Pour lui offrir un repos bien mérité loin des griffes du gel :
- Rentrez-le en pot dans une pièce lumineuse ET fraîche (idéalement entre 7 °C et 12 °C).
- Arrosage au minimum syndical – surtout pas détrempé !
- Vous manquez de place ? Prélevez quelques boutures à hiverner dans des godets.
Certain·e·s posent un voile d’hivernage dehors… spoiler : ça protège juste contre LA petite gelée surprise, pas contre un vrai hiver continental.

Géranium citronnelle hiverné dans une véranda lumineuse et fraîche

Multiplication : Faire des Bébé Géraniums Citronnelle sans Vraiment Essayer (ou presque) 🌱

Le bouturage : la méthode la plus simple pour avoir la paix (et plus de plantes)

Vous voulez cloner votre géranium citronnelle sans sortir le grand jeu de laboratoire ? Le bouturage, c’est LA technique du paresseux malin – et spoiler : ça ne marche jamais du premier coup, mais quand ça prend, c’est la fête dans les godets !

  • Prélevez une tige saine, ni trop tendre ni trop vieillotte (8 à 12 cm, pas plus).
  • Dépouillez les feuilles du bas pour éviter qu’elles ne trempent et pourrir dans le substrat (sinon bonjour les champignons).
  • Plantez la tige dans un substrat léger : terreau + sable ou perlite, surtout pas du terreau à pâté !
  • Placez à la lumière douce, gardez une bonne humidité sans asphyxier la bouture. Une mini-serre ou un sac plastique percé fait l’affaire.
  • La patience est obligatoire : comptez 4 à 6 semaines avant de voir les premières racines pointer le bout de leur nez. Si ça flétrit… recommencez. Personne n’est à l’abri d’un échec cuisant (j’en ai foiré trois sur cinq cet été, pour être franc).

Étapes du bouturage d'un géranium citronnelle pour jardin amateur
Le bouturage est la méthode la plus fiable et économique pour multiplier vos géraniums citronnelle : zéro budget, maximum satisfaction quand ça reprend !

Semis, marcottage... d'autres astuces pour devenir un pro du clonage végétal

Le semis ? Franchement réservé aux ultra-patients : il faut semer en surface sur substrat humide et chaud (20°C mini), attendre longtemps une germination capricieuse… et prier que les plantules survivent. Pour le marcottage, il faudra sélectionner une tige basse, inciser légèrement sous un nœud et enterrer partiellement dans un autre pot. Et là, tout dépend de l’humeur de votre plante mère – parfois elle coopère, parfois c’est silence radio. Bref : semis = sport mental, marcottage = doigté d’horloger et nerfs solides.

Le bouturage des Pelargonium zonale : même recette gagnante !

Bonne nouvelle : les techniques sont tout aussi valables pour le Pelargonium zonale, ce classique des balcons. Tige saine non fleurie, coupe franche, feuillage retiré en bas… C’est kif-kif niveau technique et taux de réussite. Seul vrai critère : observer sa plante-mère comme un détective en manque d’indices et s’adapter si elle fait la tête.

Au-delà du Parfum : Les Usages Malin du Géranium Citronnelle 🌿

Le géranium citronnelle, votre meilleur allié anti-moustiques naturel ?

Qu’on soit clair : le géranium citronnelle, c’est le costaud du jardin, le vrai. Son efficacité contre les moustiques n’est plus à prouver : il suffit de froisser légèrement ses feuilles pour libérer cette puissante odeur citronnée qui vous débarrasse des moustiques comme aucun gadget hors de prix ne sait le faire. Placez-le en bordure de terrasse ou près des zones de repos, et profitez de vos soirées sans avoir à vous tartiner de produits chimiques douteux. Pas besoin de sortir l’artillerie lourde : « Pas besoin de pesticides chimiques, cette plante fait le boulot, et en plus, ça sent bon ! » Si vous voulez être vraiment radical (et flemmard), mettez quelques feuilles froissées dans une coupelle sur la table – effet garanti.

Géranium citronnelle en pleine floraison en bordure de terrasse dans un jardin écologique

Infusions, huiles essentielles : quand votre jardin se transforme en pharmacie verte

Les feuilles de géranium citronnelle ne se contentent pas d’embaumer l’air ou d’agacer les moustiques : elles peuvent aussi être utilisées en infusion (pour aider la digestion ou calmer les nerfs) et leur huile essentielle est reconnue pour apaiser la peau après une piqûre ou un coup de soleil. Mais attention ! Faut pas croire que c’est la panacée universelle non plus – avant de jouer au petit chimiste amateur avec infusions ou distillations maison, demandez conseil à quelqu’un qui s’y connaît. Autant vous dire qu’une tisane trop corsée ou une huile mal dosée peut vite tourner vinaigre...

Comment le Pelargonium citronellum s'intègre dans un potager bio et résilient

Le géranium citronnelle, c’est la star discrète des jardins bio : il contribue à limiter naturellement l’usage des pesticides, attire certains insectes auxiliaires et repousse les indésirables. Ce n’est pas pour rien que sa culture s’accorde parfaitement avec une démarche permaculturelle : biodiversité accrue, zéro chimie inutile, et respect du sol toute l’année. Certains pros ne jurent que par ses vertus dans les exploitations certifiées Haute Valeur Environnementale (HVE). Comme dirait Gaspard : « C’est ça le vrai jardinage, pas de chimie à tout va ! »

Conclusion : Le Géranium Citronnelle, une Histoire de Persévérance (et de Bonnes Odeurs) 👋

Pas la peine d’avoir un diplôme en sorcellerie végétale pour réussir le géranium citronnelle – il suffit d’ouvrir l’œil, de tâter la terre et de corriger le tir quand ça part en sucette. La clé ? Observer, s’adapter, recommencer (et compter sur un poil de chance, soyons honnêtes !). Allez, lancez-vous, c’est pas sorcier ! Ce parfum-là mérite toutes les petites maladresses du débutant.

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