La peinture Dulux Valentine est sans doute la plus célèbre des marques de peinture grand public. Et pour cause : elle s’affiche partout, tout le temps, avec des promesses à faire rougir n’importe quel peintre pro. Sauf qu’à y regarder de plus près, les avis utilisateurs sont unanimes : elle est tout simplement nulle. On vous explique pourquoi (et surtout, par quoi la remplacer).
Avis global sur la peinture Dulux Valentine
La légende raconte qu’un pot de Dulux Valentine ouvert transforme chaque salon en champ de bataille entre espoir et désillusion. Oubliez l’idée du coup de baguette magique : ici, c’est pinceau contre marketing.
Note et moyenne des utilisateurs Trustpilot et Leroy Merlin
Voici ce que racontent les tribunaux populaires du web :
Plateforme | Note (sur 5) | Nombre d’avis |
---|---|---|
Trustpilot | 2.1 | ~140 |
Leroy Merlin | 4.3 (produits stars) | Données variables |
Du côté de Trustpilot, la sanction tombe plus vite qu’un pot sur un escabeau bancal : Dulux Valentine ne fait pas rêver, et les utilisateurs le disent sans fard. Sur Leroy Merlin, c’est l’inverse, on tutoie le plafond avec des notes qui caressent les 4 étoiles – mais uniquement pour certains produits ciblés par les fans du "j’ai claqué tout mon dimanche pour ça".

Points forts perçus vs points faibles récurrents
Atouts repérés (pour ceux qui veulent y croire)
- Application facile au rouleau (quand il n’est pas neuf)
- Bonne durabilité sur supports préparés comme un labo d’analyse forensic
- Large choix de couleurs à faire pâlir un jardinier rebelle devant une roseraie en bazar
- Disponibilité partout, même quand tu veux juste acheter des vis…
- Finitions variées pour jouer au chef cuisto du mur : mat, satin, velours…
Sacrés points faibles (on ne va pas se mentir)
- Opacité aléatoire : deux couches mini si t’es joueur – la « couche unique » c’est de la science-fiction!
- Prix souvent jugé indécent au vu du résultat (1 le litre, sérieusement?)
- Pouvoir couvrant digne d’une serviette trouée selon certains avis rageurs sur Trustpilot
- Tendance à "sécher trop vite ou pas assez" selon l’humidité ambiante (et l’humeur du voisin toxique)
- Odeur persistante malgré les promesses de COV sages comme des images!
Conclusion rapide pour répondre à l’intention d’achat
Une couche magique ? Fous rires garantis, ça ne marche jamais !
Finalement, si vous avez envie de faire pousser des clous dans votre patience ou si vous aimez les expériences chimiques mystérieuses avec vos murs – testez. Mais si vous voulez dormir tranquille sans sniffer du COV toute la nuit, exigez plus qu’un logo ou une pub façon licorne arc-en-ciel. La vraie peinture se juge au mur… et au nez!
Caractéristiques techniques des peintures Dulux Valentine
On ne va pas se mentir : choisir sa peinture c’est comme départager la plus discrète des taupes dans un bazar végétal. Chez Dulux Valentine, on frôle l’hystérie du rayon avec une panoplie de types et de finitions qui font plus tourner la tête qu’un nuancier arc-en-ciel qui aurait pris un coup de soleil.

Types disponibles : glycéro, acrylique, alkydes, phase aqueuse
À chaque mur son poison ? Voici le casting :
• Glycéro
- Avantages : Pouvoir couvrant costaud, effet tendu presque miroir (si t’aime voir ton reflet luisant sur une porte), parfaite pour les boiseries qui grincent.
- Inconvénients : Odeur à réveiller le voisin toxique, nettoyage au white spirit (adieu torchons et illusions), COV en prime. En GSB ça se vend comme du rêve pro mais… faut aimer l’ère pré-bio !
• Acrylique
- Avantages : Nettoyage à l’eau, séchage rapide (parfois trop), odeur (presque) supportable, moins polluant.
- Inconvénients : Opacité capricieuse sur support douteux, rendu parfois chewing-gum si mal appliquée. Les pros diront : « Un logo ne fait pas tout ! »
• Alkyde
- Avantages : L’enfant bâtard entre les deux mondes : tendu honorable, séchage rapide, nettoyage à l’eau – pour ceux qui veulent faire pro sans sniffer du solvant.
- Inconvénients : Résistance pas toujours au rendez-vous sur zones de passage. En boutique GSB, c’est la « peinture miracle »… jusqu’au premier choc contre la chaise.
• Phase aqueuse « innovante »
- Avantages : Promet monts et merveilles côté santé/écologie. Vendu comme si tu repeignais un hôpital bio.
- Inconvénients : Innovation surtout marketing. La magie s’arrête après le rinçage du pinceau…
Avantages & inconvénients par type
Type | Avantages | Inconvénients |
---|---|---|
Glycéro | Tendu parfait, super couvrance | Odeur forte, COV élevés, nettoyage white-spirit |
Acrylique | Facile à utiliser et nettoyer | Moins opacifiante selon support |
Alkyde | Compromis brillant-santé | Résistance moyenne |
Aqueuse | Écolo annoncé | Efficacité discutable selon supports |
Testez-les pour comprendre que "pro" en GSB veut juste dire "plus cher pour le même bazar dans le pot".
Finitions : mat, velouté, satin, brillant – chaque mur choisit son déguisement !
Le choix est vaste… sauf qu’il ne suffit pas d’en parler pour que ça brille ou s’efface vraiment.
Finition | Aspect | Usage privilégié | Style imagé |
---|---|---|---|
Mat | Sans reflet | Plafonds/caches-misère | Mur fantôme |
Velouté | Doux/soyeux discret | Chambres/salons douillets | Chaton qui ronronne |
Satin | Légèrement lumineux | Pièces de vie/couloirs/kids | Peau d’abricot sous spot |
Brillant | Effet miroir assumé | Boiseries/meubles/cuisines | Plastron de scarabée musclé |
Le saviez-vous ? Un client a voulu peindre son plafond en brillant "pour changer"… Résultat : ambiance salle d’attente chez le dentiste garantie. Faites ce que vous voulez mais sachez pourquoi vous pleurerez !
Couvrance, tendu et séchage : mythe ou réalité ?
La promesse "Le Blanc Facile" RAL 9010 fait rire jaune plus d’un peintre amateur… Oui, c’est blanc. Non, ce n’est JAMAIS propre dès la première couche sauf si vos murs sont déjà blancs façon neige Polaire – et encore !
Séchage annoncé comme express ? Sur papier oui ; sur chantier : soit tu ranges ton bazar trop tôt et ça colle aux doigts… soit t’attends trois heures devant un mur qui suinte.
Comparaison Dulux Valentine vs autres marques grand public
Ouvrir un rayon peinture c’est comme tomber sur un buffet gargantuesque où la sauce marketing nappe tout : pourtant, chaque pot cache sa vraie nature. Alors voilà, on met Dulux Valentine sur le ring face à Tollens, V33 et Sikkens – pour ceux qui n’ont pas peur de mouiller la chemise ni d’essorer leur porte-monnaie.

Tollens, V33, Sikkens : griller la concurrence (ou pas)
On en a marre des promesses de « blanc parfait » en une couche ? Place au vrai comparatif :
Marque | Prix moyen €/L | Couvrance (couches) | COV (g/L) |
---|---|---|---|
Dulux Valentine | 14-22 | 2 à 3 | 1-15 (A/B/A+) |
Tollens | 18-25 | 2 | <1-10 (souvent A+) |
V33 | 11-19 | 2 à 3 | jusqu’à 15 |
Sikkens | 21-30+ | 1 à 2 (pro) | <1-9 (A+) |
À retenir : Tollens tient le haut du pavé côté couvrance et s’approche du professionnalisme sans te faire renifler la caisse à outils. V33, c’est le joker technique mais l’opacité est parfois aussi fuyante qu’un chat dans un jardin retourné. Sikkens vise le rendu top pro si votre banquier ne fait pas d’allergie aux devis farfelus. Quant à Dulux… il tient surtout sur son nuancier et sa pub.
GSB vs pro : le grand cirque des étiquettes relookées

Vous croyez acheter du matos d’atelier réservé aux pros ? Eh non, bienvenue dans le théâtre de la grande distribution :
- Prix GSB : Alerte arnaque douce ! ManoMano, Leroy Merlin ou Casto vendent souvent des produits « pro »… reconditionnés avec une nouvelle étiquette qui sent bon le marketing. Les prix flambent sans garantie de performance.
- Disponibilité : La vraie différence ? En pro tu passes commande chez un distributeur spécialisé (bonjour paperasse…), en GSB tu prends ton pot entre deux packs de vis rouillées.
- Composition : Beaucoup jurent que seule l’étiquette change... La vérité ? Certains lots sont allégés en résines ou pigments pour satisfaire la « masse » du dimanche.
- Service après-vente : Oublie la hotline inspirée des pros si tu achètes en GSB : seul ton ticket caisse fait foi !
Testé : J’ai déjà vu la même référence Tollens vendue plus cher en rayon GSB qu’en négoce pro… mais avec moins d’opacifiant dedans. Si c’est pas du jardinage industriel ça !
Écoresponsabilité et niveau de COV : voisins toxiques et illusions écologiques entre Loire et Essonne

Dans les couloirs des habitats collectifs – Loire ou Essonne – tout le monde veut repeindre sans transformer son appart en station météo cancérigène.
Niveaux de COV & labels observés :
* Classements A+ pour Dulux Valentine sur certaines gammes dites "innovantes", mais attention : même les versions "blanches parfaites" affichent parfois une catégorie B cachée…
* Tollens et Sikkens tirent vers le bas (<10 g/L), souvent récompensés d’un A+ réel.
* V33 varie selon les références (jusqu'à 15g/L), ce qui laisse planer un doute aromatique après chantier.
* Labels ? Tout le monde se rue sur l’Écolabel ou NF Environnement quand ça arrange la com’, mais lisez bien l’étiquette… sinon gare au voisin toxique qui vient frapper à votre porte nez bouché !
Moralité : Le pot « propre » n’existe pas vraiment – il faut juste choisir celui qui pollue moins que votre tondeuse thermique un jour de canicule.
Retour d’expérience utilisateurs et conseils d’application
Oser peindre chez soi, c’est signer pour du sport de combat léger : il y a le bazar végétal sous la bâche, la visseuse récalcitrante qui s’invite au mauvais moment, et la poussière qui colle mieux qu’une vieille tapisserie. Pour éviter que votre chantier ne vire à la farce dominicale, voici les retours crus des bricoleurs qui n’ont pas peur d’user le rouleau ni de grincer des dents.

Préparation des surfaces : quand le ponçage devient un hobby rebelle
Avant de tartiner du Dulux Valentine partout, sortez vos armes : le ponçage n’est pas qu’un passage obligé – c’est presque l’art du dimanche ! Qui n’a jamais pesté contre une visseuse récalcitrante en cherchant à décrocher cette fichue ampoule coincée dans le plafonnier ?
Checklist préparation murale :
- Nettoyage agressif : Dégraissez, dépoussiérez sans états d’âme, sinon tout cloque avant l’heure.
- Rebouchage minutieux : Utilisez un enduit (acrylique ou gras selon peinture) pour boucher trous et fentes façon jardinier qui arrache les mauvaises herbes…
- Ponçage énergique : À la main ou à la machine, jusqu’à ce que la surface soit lisse comme un galet oublié au fond du potager.
- Sous-couche (option rebelle) : Pour certains supports poreux ou tachés, une sous-couche décuple l’accroche – même si le marketing crie "direct sur mur !"
Un utilisateur raconte avoir passé plus de temps à poncer et nettoyer qu’à peindre. Sa visseuse a fini dans le bac du jardin, jurant de ne plus jamais essayer d’ôter un vieux spot encastré.
Nombre de couches et astuces pour éviter les coulures sans faire pousser des clous
Il faut tuer le mythe « une seule couche magique ». Même en mode guerrier pressé, comptez toujours deux passages obligatoires – trois si vous visez la postérité familiale.
Conseils pour appliquer 2-3 couches sans traces ni pousses indésirables :
1. Noyez bien votre rouleau sans l’égoutter comme un radin : sinon bonjour les marques sèches.
2. Appliquez vite mais sans paniquer; si vous repassez sur de la peinture déjà sèche, bonjour les stries dignes d’un champ labouré !
3. Travaillez en bandes croisées puis lissées pour éviter ces fameuses « clous » qui sortent après séchage mystérieusement (non, ce ne sont pas vraiment des clous mais sur certains murs on jurerait…)
4. Laissez sécher le temps prescrit – ou plus selon l’humidité de votre bazar domestique – avant d’enchaîner couche suivante.
5. Ne surchargez jamais : trop épais = coulure assurée et mouche collée offerte.

Outils indispensables : rouleau, pinceau… et la visseuse qui regarde faire en râlant !
Le choix des compagnons fait toute la différence entre œuvre d’art et fresque catastrophe :
Les 3 outils clés pour survivre à Dulux Valentine :
- Rouleau microfibre premium : Le boss pour murs et plafonds ; privilégiez manche télescopique si vous tenez à vos lombaires.
- Pinceau à rechampir poils synthétiques : Idéal angles/coins/finition chirurgicale (mais gare aux poils perdus façon vieux matou).
- Bac à peinture + grille essorage : Fini les litres gaspillés ou les flaques sous vos pieds !
Accessoires bonus :
- Bâche plastique épaisse (pour protéger votre forêt urbaine et ce fameux bazar végétal)
- Ruban adhésif qualité carrossier (le bleu cheap laisse passer plus de surprises qu’il ne protège…)
- Une visseuse… inutilisée ! Elle finira sûrement sur une étagère pendant que vous pestez contre ses batteries fatiguées.

Anecdote vécue : on m’a rapporté qu’un bricoleur téméraire avait tenté une application "rapide" avec une éponge… Résultat ? Effet camouflage raté garanti. Les murs ont fini repeints au rouleau classique par la suite – preuve vivante que certains raccourcis font juste perdre du temps !!
FAQ frondeuse sur la peinture Dulux Valentine
Vous pensiez que repeindre votre salon allait être aussi simple que de faire pousser des clous dans du beurre ? Place à la FAQ sans pincettes, où chaque vérité gratte plus qu’un rouleau mal rincé.
Pourquoi la peinture paraît trop épaisse ?
Chez Dulux Valentine, certaines gammes affichent une consistance qui ferait pâlir une ratatouille oubliée au soleil. Trop épais ? Oui, surtout les « crèmes » ou le fameux Color Touch : ça poisse, ça colle, et si vous ne rallongez pas la sauce (une larme d’eau pour l’acrylique), bonjour les traces de pinceau dignes d’un tableau cubiste.
Pour comparer : Unikalo file un rendu plus soyeux en standard, pendant que Dulux gonfle sa densité façon mousse de chantier. Et le Color Touch ? Il donne parfois l’impression d’étaler de la confiture sur du carton sec…
Avis personnel sur la fluidité :
On repassera pour la souplesse ! Même un amateur sentira vite qu’il faut ajuster le bazar (dilution minimale), sinon c’est grumeaux de mur assurés. Sur ce point, Unikalo ou certaines peintures pro sont franchement moins capricieuses.
Est-ce qu’elle couvre en une couche ? Spoiler : non…
On nous vend l’idée d’un blanc parfait ou d’une couleur saturée dès le premier passage – mais votre mur rigole sous son ancienne teinte jaune-poussière. Tous les tests s’accordent : il faudra toujours deux couches, sauf à vivre dans un showroom jamais habité !
Note couverture réelle : ⭐⭐✩✩✩ (2/5) – La "couche magique" n’existe pas, même avec les slogans qui promettent monts et merveilles…
Comment limiter l’odeur et l’émission de COV ?
Avant toute chose : un pot de peinture respire toujours plus fort que votre voisin toxique du 3e ! Pour éviter de transformer votre nid en chambre à gaz douceâtre :
Les 3 réflexes anti-COV indispensables :
- Ouvrir grand toutes les fenêtres pendant ET après application. Pas juste une petite aération façon mesquin : il faut créer un vrai courant d’air pour dégager ces Composés Organiques Volatils sournois.
- Travailler masqué avec un masque filtrant type FFP2 si vraiment vous tenez à vos bronches (option indispensable pour pièces aveugles ou couloirs).
- Installer un purificateur d’air muni de filtres HEPA+charbon actif. C’est pas donné, mais vos poumons valent mieux qu’un label A+ douteux collé sur le pot.
Conclusion ironique et recommandations finales
Voilà, vous voilà armé pour la grande foire à la peinture ! Si votre rêve c’est de finir la tête dans les nuanciers après trois couches et quelques jurons, Dulux Valentine saura combler vos envies d’aventure domestique. Les promesses marketing feront toujours plus de bruit que votre rouleau… mais l’essentiel, c’est ce que le mur racontera une fois sec (ou presque sec, selon l’humidité du jour).

"Au pinceau on te jugera, pas au logo"
Moralité : entre une visseuse récalcitrante et un pot qui sent fort le COV, choisissez ce qui finit le moins mal la soirée. Le vrai pro ne croit ni aux miracles ni aux slogans imprimés… il regarde le résultat (et ventile comme un possédé)!