Si leur floraison XXL et leurs couleurs éclatantes en font les stars incontestées des balcons, on ne peut pas en dire autant de leur réputation. Les Impatiens de Nouvelle-Guinée sont souvent perçues comme des plantes capricieuses et délicates, ce qui peut décourager les jardiniers débutants. Et pourtant : loin des diktats trop stricts, ces plantes s’avèrent en réalité très résilientes, pour peu qu’on leur offre les bonnes conditions. On s’est même pris à penser qu’elles sont les plus généreuses que l’on puisse cultiver.
Vous vous demandez sûrement : "Mais que faire des trois pots qui n'ont pas survécu l'an dernier ?" Soyons clairs : on ne vous jettera pas la pierre tant nos propres cimetières végétaux regorgent de nos propres bévues. Mais on vous le promet : avec un peu d’observation, un poil d’expérimentation et quelques conseils bien sentis, elles pourraient bien devenir vos meilleures potes.
Ces mêmes conseils, on vous les a compilés dans notre guide ultra-complet. Autant vous dire qu’on a rarement été aussi enthousiastes à l’idée de vous faire (re)découvrir une plante.
Impatiens de Nouvelle-Guinée : La reine des balcons, même quand le soleil tape trop fort 👑
Qui sont ces stars à la floraison quasi-interminable ?
Soyons honnêtes, dès qu'on parle d'Impatiens de Nouvelle-Guinée, la plupart froncent les sourcils en pensant à une diva fragile qui fait grise mine au moindre rayon. Spoiler : ça ne marche jamais du premier coup de leur donner raison, car on a affaire à une vraie machine à fleurs ! Du printemps jusqu'aux gelées, cette plante balance des bouquets colorés sans discontinuer, façon feu d'artifice végétal – et parfois même jusqu'à l'indigestion florale.

Leur allure ? On reconnaît la bête à son feuillage charnu, souvent luisant, tantôt vert profond ou panaché selon l'humeur du catalogue. Les fleurs ? Pas de demi-mesure : des pétales larges, presque exagérés (blanc pur, rose fluo, rouge qui claque ou violet électrique), portés bien haut sur des tiges épaisses. Autant vous dire que côté couleurs, c’est Las Vegas sans le ticket d’entrée.
Résumé clé : Les Impatiens de Nouvelle-Guinée, surnommées 'Impatiens hawkeri', sont réputées pour leur floraison spectaculaire et continue, apportant couleur et vie aux espaces extérieurs moins ensoleillés.
Avec un port compact (30 à 50 cm si on ne leur raconte pas n’importe quoi), elles colonisent jardinières et massifs sans faire dans la dentelle. Et malgré les ragots du voisinage horticole, elles tiennent le choc face au soleil matinal ou aux balcons bien exposés – pas besoin de sortir l’ombrelle toutes les deux heures !
Impatiens de Nouvelle-Guinée vs Impatiens de Waller : quelle différence, concrètement ?
Allez, arrêtons le bazar : on confond toujours ces deux cousines… Résumons rapidement avant d’entendre encore qu’"une impatiens en vaut une autre" (vous avez déjà essayé d’offrir une canne à pêche à un féru de tricot ?).
- Feuillage :
- Nouvelle-Guinée : Feuilles épaisses, vernissées et souvent nervurées ; parfois panachées.
- Walleriana : Feuilles plus simples, mattes et fines.
- Taille des fleurs :
- Nouvelle-Guinée : Fleurs XXL, très voyantes (jusqu’à 7 cm !)
- Walleriana : Petites fleurs discrètes mais nombreuses.
- Port de la plante :
- Nouvelle-Guinée : Plante trapue mais vigoureuse ; touffe bien dessinée.
- Walleriana : Port plutôt étalé voire retombant si elle en a l’occasion.
- Tolérance au soleil :
- Nouvelle-Guinée : Supporte le plein soleil doux ou mi-ombre ; idéale pour balcons exposés Est ou Ouest.
- Walleriana : Frileuse du soleil ! À réserver strictement à l’ombre ou sous abri lumineux.
En résumé, ce n’est pas qu’une question d’apparence, mais aussi d’endurance face aux conditions parfois extrêmes de nos balcons. Et si vous pensez que tout ça c’est du marketing horticole… venez voir mon balcon après dix jours de canicule. Les wallerianas font la sieste ; les Nouvelle-Guinée paradent encore. C’est aussi simple que ça.
Leur offrir le petit coin de paradis qu'il leur faut : choisir l'emplacement idéal 🪴
Entre ombre, mi-ombre et soleil du matin : le juste milieu à trouver
On ne va pas tourner autour du pot : les Impatiens de Nouvelle-Guinée ont la réputation d'aimer la lumière, mais pas n'importe laquelle. La mi-ombre ? C'est leur zone de confort, ni un four solaire, ni une cave à champignons. Concrètement, elles tolèrent bien le soleil du matin ou de toute fin d'après-midi. Et si vous tentez le coup en plein soleil, autant éviter les heures où même votre chat refuse d'aller sur le rebord de fenêtre, sinon les feuilles tirent la tronche et la floraison s'essouffle vite !
Vous avez déjà vérifié où tape le soleil sur votre balcon vers 14h un jour de canicule ? Soyons honnêtes, la plupart des déceptions viennent de là…

En misant sur un endroit lumineux sans excès, vous obtenez une plante compacte, fleurie et jamais desséchée !
Le sol parfait : ni trop sec, ni une éponge ! Drainage, on vous dit !
Si vous croyez que toutes les plantes rêvent d'un marécage permanent... spoiler : ça ne marche jamais du premier coup. Les racines des Impatiens détestent barboter ! Misez sur un terreau léger, enrichi au compost pour les vitamines mais surtout bien drainant (ajoutez du sable ou des billes d'argile si besoin). Le but ? Pas une éponge, une terre qui respire !
Petite anecdote vécue : après avoir cru que "plus c'est humide mieux c'est", j'ai fini avec une collection de boutures liquéfiées en moins d'une semaine... Même les pros pêchent par excès d'enthousiasme.
En pot, en jardinière ou en massif : où vont-elles s'épanouir le mieux ?
Que vous ayez un balcon microscopique ou un jardin XXL, y'a toujours moyen d'y planter vos impatiens. Mais attention au contenant choisi — le drainage reste la priorité absolue (oui je radote mais c'est vital). Voici comment faire varier les plaisirs :
- Jardinières : Parfaites pour aligner vos impatiens version "frontière fleurie" sur rebord de fenêtre ou rambarde.
- Pots suspendus : Effet cascade garanti avec des variétés compactes ; bien vérifier les trous au fond surtout si l'arrosage vous échappe parfois...
- Massifs : Pour les chanceux avec un bout de terre ; jouez l'effet tapis coloré en groupe de 5 à 10 plants.
- Bordures : Idéal pour baliser les allées et donner un côté pro à votre bazar végétal estival.
Elles font aussi merveille en annuelle pour booster la couleur dans les massifs d’été ; inutile de compter sur elles passée la première vraie gelée. Mais bon, qui n’aime pas changer ses décors chaque saison ?!
L'entretien au quotidien : plus simple que de faire pousser des clous, promis ! 🌱
L'arrosage : le bon geste pour éviter le coup de chaud (ou de froid)
Soyons honnêtes, s'il y a UNE question qui revient sans arrêt c’est bien celle-ci : « Faut-il arroser tous les jours ? » Eh bien non ! Les Impatiens de Nouvelle-Guinée n’ont pas signé pour le marathon aquatique. On vise la régularité, pas le tsunami :
- Arrosez lorsque la surface du terreau commence à sécher – enfoncez votre doigt, s’il ressort propre c’est le moment.
- En pleine saison (printemps/été), une à deux fois par semaine suffisent si l’air n’est pas brûlant. S’il fait vraiment très chaud ou en pot au soleil : surveillez un peu plus souvent…
- Mieux vaut arroser copieusement que saupoudrer tous les jours, laissez l’eau s’écouler par les trous du pot (sinon c’est piscine municipale pour les racines, et spoiler : elles détestent !).
- Toujours arroser au pied, jamais sur le feuillage surtout si le soleil tape – sinon bonjour aux taches et champignons.
Vous avez déjà essayé de noyer une plante pour voir ? Le résultat est toujours moche…
« L'eau, c'est la vie, mais le trop-plein, c'est la mort assurée pour nos belles ! Mieux vaut un coup d'arrosoir modéré mais régulier, que le déluge qui noie le bazar végétal. »
Fertilisation : un petit coup de pouce pour une floraison XXL
Ce n’est pas parce qu’elles poussent bien qu’elles doivent se débrouiller toutes seules. Pour une floraison XXL qui réveille même les voisins endormis :
- Optez pour un engrais liquide spécial plantes fleuries, faible en azote (sinon ça fait du feuillage et basta).
- Appliquez toutes les 2 à 4 semaines, du début du printemps jusqu’à la fin de la floraison.
- Diluez toujours selon la notice (les surdoses ne rendent pas service).
Un petit coup de pouce pour qu'elles ne paressent pas, croyez-moi !
- Engrais liquide plantes fleuries : toutes les 2 à 4 semaines.
- Faible teneur en azote = fleurs plutôt que feuilles.
Taille et nettoyage : juste ce qu'il faut pour qu'elles ne fassent pas n'importe quoi
Les Impatiens sont généreuses mais… parfois bordéliques. Un minimum d’entretien suffit à garder leur panache :
Checklist de l’entretien :
1. Retirer les fleurs fanées dès qu’elles apparaissent (ça stimule le bazar floral au lieu d’épuiser la plante).
2. Pincer les tiges trop longues ou dégingandées avec les doigts (pas besoin d’outil de torture).
3. Vérifier l’arrosage régulièrement ; ni désert ni marécage !
4. Apporter de l’engrais si besoin ou quand ça rame côté floraison.
Pas besoin de tailler sévèrement – une coupe légère suffit à éviter qu’elles prennent leurs aises façon jungle urbaine.
Le bouturage : quand et comment multiplier vos Impatiens sans tout gâcher ?
Le bouturage des Impatiens de Nouvelle-Guinée, c’est presque aussi simple que piquer dans un gâteau... avec quelques pièges pour les étourdis (spoiler : ça ne marche jamais du premier coup si on s'y prend comme un manche).
- Prélevez une belle tige saine non fleurie (7 à 10 cm) avec une coupe franche sous un nœud.
- Retirez les feuilles du bas (personne n’aime macérer dans l’eau).
- Placez la bouture dans un verre d’eau ou dans un substrat léger à peine humide – PAS détrempé !
- Poussez ça près d’une fenêtre sans soleil direct ; changez l’eau tous les deux-trois jours si vous choisissez la méthode aquatique.
- Quand vous voyez des racines blanches pointer leur nez (comptez 10/15 jours), hop en godet individuel avec terreau frais.
C’est LE moyen économique d’avoir plein d’impatiens sans passer par la case pépinière chaque année – et ça marche même chez ceux qui oublient leurs arrosoirs partout !

Les petites misères de nos Impatiens : quand le bazar végétal s'invite 😬
Le botrytis et autres champignons : les ennemis qui aiment l'humidité stagnante
On a beau jouer les apprentis sorciers du balcon, parfois le bazar végétal prend ses aises. Et là, c'est la fête au botrytis ! Ce champignon sournois adore deux choses : l'humidité qui stagne et l'air confiné. Vous voyez des taches brunes ou grises, un duvet poussiéreux sur les feuilles, parfois comme une fine moisissure ? C'est lui, pas la peine d'espérer que ça disparaisse tout seul…

La recette du désastre ? Arroser trop copieusement, oublier d'espacer les pots, ou arroser en pleine nuit (vous avez déjà essayé de coucher des plantes dans un hammam ?). Il faut donc :
- Supprimer sans pitié les feuilles et tiges atteintes (direct au compost ou à la poubelle).
- Aérer, même si ça oblige à bousculer un peu vos autres pensionnaires.
- Éviter de mouiller le feuillage à l’arrosage – on vise la base, pas la douche générale.
Soyons honnêtes : même en faisant tout bien sur le papier, il suffit d'une série d'orages pour foutre le bazar. Alors pas de panique !
Les bestioles indésirables : pucerons, araignées rouges et limaces, gare à vous !
Dans la jungle du potager urbain comme en pleine campagne, y’a toujours des squatteurs prêts à transformer votre coin fleuri en buffet à volonté…

Il suffit d'observer régulièrement sous les feuilles ou sur les boutons pour repérer :
- Pucerons : petites bestioles vertes/noires collées aux jeunes tiges ; ils aspirent la sève et déforment le feuillage.
- Araignées rouges : minuscules points rouges souvent cachés dessous les feuilles ; celles-ci jaunissent puis tombent si on laisse faire.
- Aleurodes (mouches blanches) : nuée blanchâtre qui s’envole quand vous touchez la plante ; elles affaiblissent sacrément vos impatiens si elles s’installent.
- Limaces : surtout sur jeunes pousses dehors ; dégâts visibles au petit matin (trous nets façon grignoteuse industrielle).
Un contact visuel régulier avec vos impatiens vaut toutes les recettes miracle du monde. La vigilance est votre meilleure alliée !
Les astuces de Gaspard pour repousser ces nuisibles (sans les empoisonner)
Soyons francs : balancer des produits chimiques juste parce qu’on a vu deux pucerons ne fera jamais pousser votre conscience écologique. Et puis… spoiler : ça ne marche jamais du premier coup pour éradiquer toute la faune indésirable sans effet secondaire !
- Savon noir dilué (1 cuillère à soupe/litre d’eau) – parfait pour calmer une invasion de pucerons ou d’araignées rouges ; pulvérisez sous et sur les feuilles tous les 3 jours jusqu'à disparition.
- Barrières anti-limaces : cendres autour du pot (à refaire après chaque pluie), coquilles d’œuf broyées ou bandes en cuivre – pas glamour mais diablement efficace.
- Pour les aleurodes : douchette douce sous les feuilles pour décoller cette armée volante puis installez quelques plantes compagnes (basilic/répulsives) si vous êtes joueur.
- Enfin : laissez bosser la biodiversité locale – coccinelles contre pucerons, oiseaux amateurs de chenilles… La nature fait bien mieux que n’importe quel spray acheté vite fait au supermarché.
« Autant vous dire que j'évite les produits qui font peur aux oiseaux et aux hérissons. Un peu de savon noir, et hop, on renvoie ces nuisibles à leur occupation première : nous taper sur les nerfs ! »
Rien ne sert de transformer son jardin en laboratoire chimique… On expérimente doucement : souvent c’est plus efficace et moins risqué pour tous vos petits locataires du jardin.
L'hiver arrive : peut-on sauver ces belles frileuses ? ❄️
Peut-on vraiment les considérer comme vivaces chez nous ?
On ne va pas se mentir, les Impatiens de Nouvelle-Guinée sont une fausse vivace pour nous, sauf si on a un climat de Côte d'Azur. En gros, elles tiennent la route à l'état sauvage dans des terres où le thermomètre ne fait jamais la grimace. Mais en France (hors microclimats méditerranéens ou vérandas chauffées), dès que ça pince un peu trop, elles rendent l’âme sans demander leur reste. Autant vous dire que les hivers à -2°C, elles n’y croient pas une seconde !
Points clés sur leur rusticité :
- Ne supporte PAS le gel : 1 nuit glaciale = plante en compote.
- Survivance rare en pleine terre : possible uniquement là où l’hiver se prend pour le printemps.
- Généralement cultivée comme annuelle : on replante chaque année et basta !

Les astuces pour les rentrer et les garder au chaud (ou presque)
Les plus accros tenteront sûrement de jouer les infirmiers et de rapatrier leurs pots dans le salon ou la véranda. Mais attention — les rentrer ? C’est tout un art ! On anticipe AVANT la première gelée sinon c’est la soupe aux racines...
Voici comment éviter que ce soit une galère :
- Inspectez vos impatiens feuille par feuille (pucerons, aleurodes et autres squatteurs raffolent du voyage).
- Préparez-leur un coin lumineux mais sans soleil direct brûlant (derrière une fenêtre orientée est ou nord, ou sous velux diffuseur). Trop sombre = tiges filiformes qui cherchent la lumière.
- Gardez-les à température fraîche : entre 10°C et 18°C s’il vous plaît – "les mettre au chaud mais pas en surchauffe". La chambre d’amis rarement utilisée fait souvent très bien l’affaire !
- Arrosez très peu, juste histoire que la motte ne sèche pas complètement. Oubliez l’engrais jusqu’au printemps.
« Les rentrer ? C'est un peu comme les mettre en hibernation forcée. Moins d'eau, moins de lumière, et surtout, qu'elles ne choppent pas des bestioles qui vont ensuite contaminer tout mon bazar végétal intérieur ! »

Anecdote : Un collègue m’a déjà rapporté une armée d’aleurodes qu’il hébergeait involontairement sur ses impatiens hivernées… Résultat ? Son ficus a été dévoré plus vite qu’un reste de gâteau oublié sur le coin de table. Méfiance maximale avant l’installation – personne n’a envie d’un remake de Jurassic Park botanique.
Quand les traiter comme de belles annuelles et repartir sur de bonnes bases
Allez, soyons honnêtes : parfois vouloir sauver coûte que coûte ses impatiens finit par être plus prise de tête qu’autre chose. Pourquoi ne pas voir ça comme une occasion ? Chaque printemps, c’est le marché aux nouveautés côté variétés éclatantes et feuillages panachés.
La méthode "annuelle" a plein d’atouts :
- Zéro prise de tête hivernale : pas besoin d’espace ni d’inspection hebdomadaire anti-nuisibles.
- Jeunes plants vigoureux chaque année, avec souvent plus de fleurs qu’un sujet rescapé du frigo.
- Choix XXL chez votre horticulteur préféré dès mars/avril — changement de décor garanti selon vos envies !

« Franchement, entre nous, parfois le jeu en vaut pas la chandelle. Acheter de nouveaux plants au printemps, c'est aussi un plaisir, et ça garantit une floraison éclatante sans se prendre la tête avec les caprices de l'hiver. »
En résumé : les conseils clés pour des Impatiens de Nouvelle-Guinée au top !
On ne va pas vous jouer la sérénade du jardinier parfait : les Impatiens de Nouvelle-Guinée, c’est avant tout une question d’observation et de bon sens. Vous rêvez d’un pot explosif façon 'Para Delias Rose' ou d’un tapis chatoyant toute la belle saison ? Voilà le kit de survie, version sans tabou :
Points à retenir pour cartonner avec vos Impatiens de Nouvelle-Guinée
- Mi-ombre, pas de soleil brûlant ! Installez-les là où la lumière les caresse mais ne les grille pas – matin ou fin d’aprem, c’est le jackpot. Le soleil direct à midi ? Autant mettre vos plants au grill…
- Drainage excellent, sinon rien. Un terreau léger, enrichi (un peu) et surtout jamais détrempé. Ajoutez du sable ou des billes d’argile si ça vous chante mais ne transformez pas le pot en marécage.
- Arrosage régulier mais sans excès. On attend que le dessus sèche un poil avant de sortir l’artillerie lourde ; arroser trop souvent = fiasco assuré. Que ceux qui aiment noyer leurs plantes lèvent la main (et changent cette vilaine habitude).
- Fertilisation : pensez à booster sans gaver ! Un engrais fleurs toutes les deux à quatre semaines, et basta.
- Surveillance rapprochée des maladies et parasites, parce que même la 'Impatiens Nouvelle Guinée Para Delias Rose' finit par choper un puceron ou deux si on lui lâche la bride.
Astuce clé : rien ne remplace l’œil du jardinier. Plus on observe, plus on apprend à repérer le moindre signe de soif, d’excès ou de bestiole suspecte. La théorie c’est bien joli ; la pratique, ça fait toute la différence !
N’ayez pas peur de vous lancer : chaque raté est une graine pour mieux réussir !
Soyons francs : même les vieux briscards du sécateur se plantent parfois (sans mauvais jeu de mot). Ce n’est pas grave ! Les impatiens pardonnent plus facilement qu’une visseuse récalcitrante.
La vérité ? Leur floraison débordante vaut largement ces quelques efforts. Plantées, bichonnées (même maladroitement), elles transforment n’importe quel coin tristounet en explosion colorée — et quand vous aurez récolté vos premières boutures maison comme un chef, vous viendrez m’en reparler !
Allez hop, attrapez un plant bien trapu (testez donc la ‘Impatiens Nouvelle Guinée Para Delias Rose’ pour frimer sur Instagram…), sortez l’arrosoir — et surtout faites-vous plaisir avec ce bazar végétal généreux !